Le degré de complexité accru des sous-systèmes électriques requiert de plus en plus d’ingénierie au niveau des composants pour une intégration efficace dans la plateforme.
J’ai commencé ma carrière, après avoir obtenu un Master en aérospatiale, en tant que concepteur mécanique pour l’introduction de nouveaux produits (NPI) dans les turbines à gaz. Plus tard, j’ai assumé un rôle de chef de file dans la gestion de projets NPI complexes, en travaillant sur toute la chaîne de valeur jusqu’à la production. Après avoir obtenu un Master en gestion de projet, j’ai changé de domaine en passant au NPI en avionique. J’ai eu l’occasion de découvrir des produits et des cycles de développement très différents, ainsi que des types de clients et des exigences différents. Je travaille désormais avec les systèmes et les composants électriques et à fibres optiques de TE, et je suis à la recherche de revenus plus importants, afin d’accroître nos capacités et d’atteindre des domaines émergents. Je suis actuellement en train de préparer un MBA et je me sens capable de déterminer comment l’ensemble des activités de TE peut apporter de la valeur à nos clients, en connectant les architectures d’énergie et de données des plateformes du monde de demain.
Comment êtes-vous arrivé dans le domaine de l’ingénierie et qu’est-ce qui vous attire ?
J’ai toujours eu un fort intérêt et une passion pour la haute technologie et les véhicules, en particulier l’aérospatiale. Dès mon plus jeune âge, j’ai construit des modèles d’avions et des planeurs télécommandés. Je regardais avec admiration les pales de turbines à gaz sur l’étagère de ma chambre. J’aime la complexité de l’ingénierie et la résolution de problèmes, imaginer des machines au travail, développer et réaliser « cette nouvelle chose ».
Sur quels défis de connectivité travaillez-vous ?
De nombreuses nouvelles plateformes doivent optimiser le sous-système électrique, non seulement en termes de performance du produit, mais aussi en ce qui concerne la manière dont elles sont construites et utilisées dans l’écosystème des utilisateurs finaux. Les sous-systèmes à haute puissance sont le point central de nombreux systèmes de véhicules en cours de développement, car de plus en plus de plateformes sont électrifiées pour la propulsion et les armes.
Quels changements anticipez-vous dans votre secteur au cours des cinq prochaines années ?
L’électrification et la numérisation continueront de mûrir et d’ouvrir de nouvelles fonctionnalités qui ne sont pas disponibles aujourd’hui.
Les autorités réglementaires conduiront à l’électrification des systèmes de propulsion de tous les véhicules avec des systèmes à haute puissance, afin de parvenir à des émissions nulles et à un bilan carbone nul. Cela inclut les plateformes militaires et commerciales, basées sur terre ou dans les airs. Les contraintes liées au poids du système et à l’enveloppe spatiale seront plus importantes qu’auparavant.
Les architectures ouvertes pour l’avionique et la communication des dispositifs de surveillance de l’état des systèmes ainsi que de commande et de contrôle, comme les suites C5ISR, impliqueront une densité plus élevée et des taux de connexion plus rapides, voire un passage à l’informatique de périphérie et à la connectivité sans fil sur la plateforme.
Nous verrons également la base de clientèle potentielle changer, passant des OEM établis à des start-ups espérant devancer la concurrence avec des plateformes novatrices grâce à un développement et une conquête du marché rapides.
Nos composants devront être innovants pour s’adapter rapidement aux futures lacunes dans les besoins des produits. Les ingénieurs TE devront penser différemment.
Lorsque vous ne travaillez pas, quel est votre passe-temps favori ?
J’ai deux motos et j’aime voyager. Lorsque le temps le permet, j’essaie de voler dans un avion monomoteur.
Le degré de complexité accru des sous-systèmes électriques requiert de plus en plus d’ingénierie au niveau des composants pour une intégration efficace dans la plateforme.
J’ai commencé ma carrière, après avoir obtenu un Master en aérospatiale, en tant que concepteur mécanique pour l’introduction de nouveaux produits (NPI) dans les turbines à gaz. Plus tard, j’ai assumé un rôle de chef de file dans la gestion de projets NPI complexes, en travaillant sur toute la chaîne de valeur jusqu’à la production. Après avoir obtenu un Master en gestion de projet, j’ai changé de domaine en passant au NPI en avionique. J’ai eu l’occasion de découvrir des produits et des cycles de développement très différents, ainsi que des types de clients et des exigences différents. Je travaille désormais avec les systèmes et les composants électriques et à fibres optiques de TE, et je suis à la recherche de revenus plus importants, afin d’accroître nos capacités et d’atteindre des domaines émergents. Je suis actuellement en train de préparer un MBA et je me sens capable de déterminer comment l’ensemble des activités de TE peut apporter de la valeur à nos clients, en connectant les architectures d’énergie et de données des plateformes du monde de demain.
Comment êtes-vous arrivé dans le domaine de l’ingénierie et qu’est-ce qui vous attire ?
J’ai toujours eu un fort intérêt et une passion pour la haute technologie et les véhicules, en particulier l’aérospatiale. Dès mon plus jeune âge, j’ai construit des modèles d’avions et des planeurs télécommandés. Je regardais avec admiration les pales de turbines à gaz sur l’étagère de ma chambre. J’aime la complexité de l’ingénierie et la résolution de problèmes, imaginer des machines au travail, développer et réaliser « cette nouvelle chose ».
Sur quels défis de connectivité travaillez-vous ?
De nombreuses nouvelles plateformes doivent optimiser le sous-système électrique, non seulement en termes de performance du produit, mais aussi en ce qui concerne la manière dont elles sont construites et utilisées dans l’écosystème des utilisateurs finaux. Les sous-systèmes à haute puissance sont le point central de nombreux systèmes de véhicules en cours de développement, car de plus en plus de plateformes sont électrifiées pour la propulsion et les armes.
Quels changements anticipez-vous dans votre secteur au cours des cinq prochaines années ?
L’électrification et la numérisation continueront de mûrir et d’ouvrir de nouvelles fonctionnalités qui ne sont pas disponibles aujourd’hui.
Les autorités réglementaires conduiront à l’électrification des systèmes de propulsion de tous les véhicules avec des systèmes à haute puissance, afin de parvenir à des émissions nulles et à un bilan carbone nul. Cela inclut les plateformes militaires et commerciales, basées sur terre ou dans les airs. Les contraintes liées au poids du système et à l’enveloppe spatiale seront plus importantes qu’auparavant.
Les architectures ouvertes pour l’avionique et la communication des dispositifs de surveillance de l’état des systèmes ainsi que de commande et de contrôle, comme les suites C5ISR, impliqueront une densité plus élevée et des taux de connexion plus rapides, voire un passage à l’informatique de périphérie et à la connectivité sans fil sur la plateforme.
Nous verrons également la base de clientèle potentielle changer, passant des OEM établis à des start-ups espérant devancer la concurrence avec des plateformes novatrices grâce à un développement et une conquête du marché rapides.
Nos composants devront être innovants pour s’adapter rapidement aux futures lacunes dans les besoins des produits. Les ingénieurs TE devront penser différemment.
Lorsque vous ne travaillez pas, quel est votre passe-temps favori ?
J’ai deux motos et j’aime voyager. Lorsque le temps le permet, j’essaie de voler dans un avion monomoteur.
